« Cette nuit-là, je ne le vis pas se mettre en route. Il s’était évadé sans bruit […] d’un pas rapide. » (St Ex.)
Jamais un être si généreux, si puissamment discret, talentueux et à l’humour libre et corrosif, ne s’est trouvé sur notre route.
Les mots nous manquent.
Mais pas autant que toi.
Nous t’embrassons Yves.
Si fort qu’aucun arbre n’aura la même couleur, aucune plante carnivore le même appétit, la même saveur, plus aucun drone ne décollera des feuilles imprimées, mais nous, oui, tu nous auras fait quitter le sol quotidien morne pour des instants suspendus de haute tenue.
Merci Yves.
Salut l’artiste.
Et à toujours.